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Ta photoJe regardais cette photoPas vraiment beauPlus très jeune non plusSurement trop buAbus de tabac aussiTrop vite vieilliUn corps si embarrassantUn esprit trop obeissantJ'embrassais cette photoPas vraiment beauPlus jamais au topChanson en flopAbus de la vieTrop vite engloutieUn corps si encombrantUn esprit trop obtemperantJ'aborrhais cette photoPas vraiment beauPus jamais souriantSurement trop cassantPeut etre tant souffertLa vie c'est la guerreUn corps si transparentUn esprit trop envahissantJ'aimais cette photoPas vraiment beauCa ne s'explique pasLes sentiments c'est çaIls arrivent tout basVous mettent au pasD'un corps si fremissantD'un esprit trop aimantAdelaide
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Six cordes à faire vibrerJe me souviens de cette naufragée,Que la mer de la vie a tant secoué,Et dont le coeur etait à moitié noyé,Sous la vague de l'amertume salée.Mais chaque fois la musique l'a sauvé,Quelques notes sont venues la repecher,Grace à elles,elle n'a pas couléSon radeau troué n' a jamais sombré.Elle a essayé vainement de dessiner,Sur un mur ,ce qui la faisait pleurer,Mais la toile de fond est encore restée,Ces quelques arabesques sur une portée.Aujourd'hui,six cordes à faire vibrer,des fils d'acier qui la font saigner,Mais lui permettent enfin d'oublier,Les arpèges d'une vie si dure à jouer.Adelaide
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Le chien du poète
N'a pas besoin de lunettes,
Il lit les vers dans ses yeux,
les maux de l’âme ,ses bleus.
Le chien du poète,
Est bien loin d’être bête,
Il sent les hauts de vague,ses creux,
Les chemins sableux ou caillouteux.
Le chien du poete
N'a pas besoin de couette,
Il cajole les soirées douillettes,
De coups de langue en coups de tète,
Le chien du poète
S'endort derriere la banquette,
Veillant sur la chère silhouette,
Le cœur toujours en fête
Adelaide
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La version live de "too many friends",extrait du nouvel album de Placebo:Loud like love.
La voix de Brian ,j'adore,son nouveau look,un peu moins.
mais quand la musique est bonne ,le reste on pardonne..
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DecalageDeux bêtes sauvages:Toi, dans ta cageMoi ,sans bagageCa sent le blocage.Troubles du langage:Toi ,cris trop sagesMoi,silence de rageCa sent le derapage.Difference d'age:Toi ,dans tes usagesMoi,sur mon nuageCa sent le carambolage.Seances remixage:Toi,tes vieux adagesmoi,le surdosageCa sent le dereglage.Erreurs de paysage:Toi,au sud la plageMoi,à l'ouest le bocageMieux vaut tourner la pageAdelaide
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London,the wall ,19 maiEn milieu de matinée,Je suis enfin arrivée,Dans cette megapole,Dont je rafole.C'est comme rentrée chez moi,M'enlever un poids.Dans le metro londonien,Bien different du parisien,Tu croises mille visages,Aves chacun son message.Quelque soit la tenue,Pas de jugement rendu,Quelque soit le foulard ,Pas de lourds regards.Chacun y trouve sa place,Qu'importe la race.Beaucoup trop de touristes,Et plein de d'artistes.J'ai attendu midi à westminster,Comme d'hab,assise par terre,Je voulais ecouter grand Ben,Ses douzes coups,ça vaut la peine;Le soleil etait un peu timide,Mais le ciel pas humide,Comme d'hab ,je me suis perdue,Au hasard de ses rues.Ca me prends si souvent ,Quand j'ai un peu le temps.Les batiments aux briques rouges,Symbole d'une ville qui bouge.St James et tous ses badauds,J'y ai mangé au bord de l'eau.Boutiques à Covent Garden,Juste pour un peu de fun.Fin d'apmidi à l'O2 arena,Bondé à cette heure la,files d'attente aux restosC'est vrai on dine très tot.Puis l'ouverture des portes,La foule en cohorte,La biére coule deja à flot,Certains plusieurs pintes dans le coco,Le show n' a pas encore commencé,Qu'est ce que se sera à l'arrivée...Pas de fosse pour ce soir,Sagement ,il a fallu s'assoir,Bob nous à tenu compagnie,En attendant Waters le VIP,La voix de Zimmerman,C'est sur ça reste dans le crâne,Sur la scène des morceaux de mur,Sur le sujet ,ça rassure.Les lumieres s'eteignent,Enfin la musique règne,Mille lumières nous inondent,De vieux avions grondentLe mur tout du long monte.Les guitares electriques pleurent,le monde est une terreur,pour l'enfant qui a peur,Dans la poitrine ,tu sens que ça vibre,Les decibels qu'on debride,Roger semble un peu fatigué,Mais le spectacle fait rever.Une multitude de feux d'artifice,Des marionnettes geantes qui glissent,Deux marteaux marchent au pas,Dans la video de ces années la;Qunad à la fin le mur s'ecrouleC'est du delire dans la foule,Tout le monde est debout,C'est toujours aussi fou,L'effet de cette musique sur nous;Le plus joli souvenir sera pour moi,evidemment ce morceau la,Ma premiére tablatureCelle qui me semblait si dure:Is there anybody out there;Forcement ,j'ai fini par pleurer,C'est un autre que je voyais jouer.L'avantage d'etre dans le noir,C'est que personne ne peut te voirAdelaide
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